Annexe - Description illustrée du domaine

Le Domaine

Lieu phare de la région dans laquelle il se trouve, le Domaine d’Almara est implanté au cœur des vastes prairies normandes, à plusieurs kilomètres de la mer. Cette région, connue pour ses vallées verdoyantes, est le royaume du cheval par excellence. Loin du climat sec du sud de la France, les pluies souvent abondantes de la Normandie offrent une végétation grasse et largement arborée, qui fait le bonheur des herbivores.

Sa construction datant de bien plus loin que sa première ouverture, le Domaine d’Almara a donné son nom au Bois d’Alma, la forêt avec qui il partage ses terres. Le village le plus proche est Thabanon, mais son existence est largement éclipsée par la présence du domaine. Loin des grandes villes aux milles et une technologie, Thabanon est un vieux village aux maisons typiques de la région et aux pierres vieilles comme le monde. Les routes y sont anciennes et souvent étroites et sinueuses, et une petite rivière nommée l'Audacieuse serpente entre ses rues.


Une rue de Thabanon, le village environnant
La principale attraction de Thabanon est L’Amarien, l'un des rares bar de la région qui fait également office de restaurant et qui disposent de quelques chambres pour la nuit. L’Amarien attire tous les types de clients : les vieux normands qui sont là depuis toujours mais aussi les touristes de passages, qui cherchent un endroit pour se restaurer. Le chef cuistot est connu pour ses plats savoureux et l’endroit a bonne réputation.


L'Amarien, l'un des seul bar de la région
Retrouvez ici la description illustrée du domaine et de son écurie.

Navigation rapide:

Le Manoir

_{« - Eh bah ... sacrée baraque »}
Le Domaine d’Almara est une immense propriété qui s’étend sur de nombreux hectares, au cœur du bocage normand. Un grand mur de pierre entoure le manoir, les écuries, les structures équestres ainsi qu’une partie des prés. Ce mur, difficilement pénétrable, n’offre que deux passages : l’entrée principale, qui donne directement sur le manoir, et l’entrée des écuries, qui permet aux cavaliers externe d’accéder à la partie écurie. Les deux entrées sont étroitement surveillées : l’entrée principale est fermée par un portail en métal, haut de plusieurs mètres et qui s’ouvre et se ferme à distance. Une caméra filme la zone en continue afin de surveiller les entrer et les sorties.


Portail de l’entrée principale
Le domaine s’étend également au-delà du mur d’enceinte et se compose de nombreux paysages : de nombreux hectares sont dédiés aux prairies pour les chevaux (les prés hors de l’enceinte ne sont pas accessibles aux résidents tout venant) et une autre partie est largement boisée (le Bois d’Alma). De nombreux chemins de ballade sont tracés à travers la forêt, dont les limites sont définies par une simple clôture grillagée.


L'institut, aux allures de manoir anglais
Grande bâtisse aux pierres d’un rouge pâle, le manoir a peu changé au cours des années. Sa décoration et la plupart de son ameublement sont d’origines, si bien que l’ensemble fait vieux, très vieux. Le manoir est composé d’un rez-de-chaussée et de deux étages.


LE REZ-DE-CHAUSSÉE

VOIR LE PLAN DU REZ-DE-CHAUSSÉE:

Au rez-de-chaussée se trouve naturellement le Hall d’Accueil, qui fait office de salle d’attente pour nouveaux arrivants et les potentiels visiteurs ; une table circulaire trône en son cœur. Carrefour du rez-de-chaussée, le Hall d’Accueil est un lieu de passage fréquent.


Le Hall d’Accueil (faire abstraction de la fenêtre du fond)
Tout au bout de l’aile ouest se trouve la Grande Salle. Majoritairement occupée par de longues tables, c’est dans cette salle que se retrouvent, trois fois par jour, les résidents et employés du domaine pour prendre le petit déjeuner, le déjeuner et le diner. Les trois longues tables réservées aux résidents sont disposées en parallèle, tandis que la quatrième, réservée aux employés, est installée perpendiculairement aux trois autres ; de cette manière, les employés ont une vue d’ensemble sur la pièce. Au fond de la pièce, à l’autre bout de la table des employés, se trouve la table de self-service, où sont disposés les plats de nourriture au moment des repas (lors des repas chacun est libre d’aller et venir pour aller remplir son assiette). La cheminée, qui se trouve entre les tables des résidents et la table de self-service, est souvent allumée les soirs d’hiver. Les cuisines quant à elles se trouvent juste à côté, dans une pièce à part. Bien que les résidents ne soient pas autorisés à aller dans les cuisines, une porte à double battant permet aux deux pièces de communiquer. La Grande Salle est ouverte de 7h à 21h en continue, même en dehors des repas ; le self propose en permanence du thé, du café et autres gourmandises dans le genre.


La Grande Salle, lumineuse en toute circonstance
La Salle Commune se trouve entre la Grande Salle et le Hall d’Entrée. Chargée en décorations et mobiliers, cette salle est réservée à la détente et à la vie en communauté. On y trouve de nombreux canapés en velours, de vieilles tapisseries et des têtes d’animaux empaillés accrochées sur les murs. Une partie du sol est recouvert par un vieux tapis et, véritable anachronisme au cœur de toutes ces vieilles choses, un écran plat géant est accroché contre l’un des murs.


La Salle Commune, rarement vide
Dans la continuité du Hall d’Accueil se trouve la Bibliothèque, qui abrite des ouvrages de toutes sorte. Romans d’aventure, encyclopédies, chroniques, livres philosophiques, ces livres sont libre d’accès. Comme dans toutes les bibliothèques, le silence est le maître mot. La bibliothèque est peu fréquentée (les résidents préfèrent largement la Salle Commune), cependant des tables et des chaises ont été mises à disposition pour ceux qui d’aventure voudraient y travailler … ou simplement y passer du temps. Cinq étagères (dont une murale) composent cette bibliothèque aux nombreuses références. Comme tout ou presque dans le manoir, les livres sont d’origines : ils sont vieux et certains n’ont pas été ouverts depuis de nombreuses années. Au centre de la bibliothèque se trouve un bureau, sur lequel est posé un vieux livre aux pages jaunies par le temps. Il s’agit du livre d’or de l’institut, mit en place à la première ouverture et dans lequel les élèves peuvent écrire librement.


La bibliothèque, aux ouvrages aussi nombreux que variés
Dans l’aile ouest du manoir se trouvent les Salles de Cours. Au nombre de 4, elles manquent de modernisme mais le plus important s’y trouve : des tables pour les élèves et un tableau pour le professeur. Les tables sont d’origines et si elles sont propres de nombreux graffitis et inscriptions s’y trouvent, gravés dans le bois où marqués au stylo. Les professeurs se partagent les salles de classe et sont libres de les organiser comme bon leur semble.


Une des salle de cours
Enfin, tout au bout de l’aile ouest se trouve l’Infirmerie, totalement refaite à neuf ou presque. C’est ici que, sous bonne garde, sont stockés une partie des médicaments des résidents, ainsi que les produits illicites saisis pour X ou Y raisons. L’infirmier en chef, Thomas Waynes, est responsable de cet endroit et gare à ceux qui tenteraient de le rouler. Plusieurs lits sont à disposition et une pièce spéciale a même été ajoutée pendant les travaux : la « Pièce d’Apaisement », qui est un lieu totalement fermé et sécurisé et qui sert majoritairement à enfermer les résidents en crise.


LE PREMIER ÉTAGE

VOIR LE PLAN DU PREMIER ÉTAGE:

Au premier étage du manoir se trouve les chambres des résidents : celles des niveau I et II dans l’aile ouest, celles des niveau III dans l’aile est. Les chambres sont réparties de part et d’autre d’un grand couloir et chacune porte un numéro dont le premier chiffre correspond à l’étage (1) et les suivants au numéro de la chambre (01, 02, 03, …) ce qui donne donc 101, 102, 103, etc. Les numéros sont inscrits en chiffre romains sous la forme suivante : CI (101), CII (102), CIII (103), etc.


Le couloir du 1er étage


Porte de l'une des chambres
Les chambres des niveau I peuvent accueillir jusqu’à 4 résidents. Elles sont composées de 2 lits superposés et ne disposent pas d’un grand confort comparativement aux autres chambres : elles disposent chacune d’une salle de bain que les résidents doivent se partager. De manière générale les résidents n’y restent pas plus d’un mois.

Les chambres des niveau II sont prévues pour accueillir 2 résidents. Elles sont composées de 2 lits séparés et d’une salle de bain ainsi que de mobiliers permettant le rangement. Contrairement au chambre des niveau I, les résidents peuvent apporter dans ces chambres quelques détails (photo, objets, …) permettant de les personnaliser, pour peu qu’ils ne soient pas permanents.

Les chambres des niveau III sont des chambres individuelles. Elles disposent des mêmes avantages que les chambres des niveau II et il arrive même, parfois, qu’une chambre de l’aile ouest soit adaptée et attribuée à des résidents de niveau II (notamment lorsque le domaine vient à manquer de chambres de l’aile est)

Quel que soit le type de chambre, les résidents sont responsables de leur propreté : ils doivent y faire le ménage eux-mêmes et les garder ordonnées, et gare à ceux qui ne s’y plieraient pas. Chaque matin les lits doivent être faits et régulièrement des contrôles sont effectués afin de s’assurer du respect de ces règles.



LE DEUXIÈME ÉTAGE

VOIR LE PLAN DU DEUXIÈME ÉTAGE:

Dernier étage accessible du manoir, le deuxième étage est divisé en plusieurs parties . De manière générale, à moins d’avoir une bonne raison, les résidents n’ont pas le droit de s’y rendre. L’aile ouest est composées de chambres réservées aux résidents de niveau IV et aux employés du domaine, réparties tout comme le premier étage de part et d’autre d’un couloir. Toute l’aile est, quant à elle, compose l’appartement du directeur : cette partie est strictement privée et s’y rendre est interdit.

Entre les deux se trouve le Bureau du Directeur. Les murs qui juxtaposent l’entrée du bureau sont décorés de tableaux de Géricault, représentant tous d’une manière ou d’une autre des chevaux. Au sein de l’institut, personne ne sait s’il s’agit des œuvres originales ou non et le directeur se garde bien d’en donner la réponse (le sait-il lui-même ?).


Le Bureau du Directeur
A l’opposé du bureau du directeur se trouve la Salle des Archives, qui fait également office de salle de réunion et parfois de salle d’entretien. Comme son nom l’indique, c’est ici que se trouvent les archives du domaine et en particulier les dossiers des anciens résidents datant de la première ouverture. Les papiers importants ne s’y trouvent pas, mais bien des secrets se cachent dans ces dossiers auxquels les résidents n’ont pas le droit d’accéder.


La Salle des Archives

L'Ecurie

_{« - Ici la citation »}
La partie écurie du domaine d’Almara diffère bien du manoir : entièrement neuve, elle accueille une partie des chevaux du domaine. Construite à l’image des barns américaines, elle accueille à l’intérieur des boxes spacieux (16m²) aux équipements récents. Son intérieur est vaste et toujours impeccable. Alessendro, le maître d'écurie, y veille personnellement !


L'écurie, vue de l'extérieur
Chaque box s’ouvre via une porte coulissante et dispose d’une fenêtre donnant sur l’extérieur, permettant aux chevaux de jeter un œil dehors si l’envie leur prend. Pour la grande majorité, les chevaux sont sur litière de paille mais il arrive que certains soient sur copeaux (au grand damne d’Alessendro).


L'écurie, vue de l'intérieur
De part et d’autres du barn se trouvent des haut-vents, qui servent généralement au soin et à la préparation des chevaux. Attention, car les fenêtres des boxes donnent sur cette partie de l’écurie : gare aux chevaux mal aimables qui auraient vite fait de vous croquer, vous et votre monture !

Un peu plus loin, presque en retrait se trouve la Vieille Grange, qui se trouve être le seul bâtiment d’origine de l’écurie. La vieille grange est composée de grandes stabulations habituellement réservées aux poneys mais qui peuvent, parfois, accueillir les chevaux vivants au pré. Les installations y sont rudimentaires mais fonctionnelles, ce qui plait beaucoup à Alessendro qui y est particulièrement attaché.


La vieille grange, le seul bâtiment d'origine
La Sellerie, elle, est commune à tous les équidés, qu’ils appartiennent au domaine ou non et qu’ils vivent au box ou pas. Des porte-selles en bois ornent les murs et au sol se trouvent de nombreuses malles dans lesquelles se trouvent le matériel de chaque cheval ; chaque cheval a sa propre malle. La sellerie doit toujours être ordonnée et Alessendro met un point d’honneur à ce que cette règle soit respectée. Annexé à la sellerie, un petit local fermé à clé abrite les médicaments et autres produits de premières nécessité des chevaux.


Le sellerie, toujours ordonnée
Le principal lieu de travail des chevaux et de leur cavalier est le Manège, au format olympique. Il permet aux cavaliers de travailler leurs chevaux et d‘évoluer malgré les potentielles intempéries, et son aspect fermé n’est pas sans rassurer les jeunes recrues. Malgré le toit au-dessus, la zone reste tout de même lumineuse grâce à de nombreuses panneau transparents qui composent la toiture. Le manège est éclairée pour les séances tardives hivernales.


Le manège, vaste et sécurisant
La Carrière, quant à elle, est moins impressionnante. Plus petite que le manège, elle est délimitée par des lisses en bois. Beaucoup de cavaliers utilisent cette carrière pour le travail à pied et/ou en longe.


La carrière, plus petite que le manège
En bordure du domaine se trouve la Piste de Galop, qui longe une partie des prairies. Cette large piste circulaire couverte de sable s’étend sur près de 1km. Elle est peu fréquentée par les cavaliers et il n’est pas rare d’y croiser des animaux de la forêt, puisque le Bois d’Alma n’est pas très loin.


La piste de galop, en bordure du domaine
Enfin, le domaine d’Almara disposait jadis d’un Terrain de Cross, aujourd’hui à l’abandon. Il n’est pas exclu que ce terrain soit un jour remis en état mais pour l’heure, les obstacles gisent çà et là sur le terrain aux nombreux dénivelés.


Le terrain de cross, actuellement à l'abandon
Le domaine d’Almara dispose de nombreuses prairies verdoyantes aux clôtures parfaitement entretenues – ce qui n’empêche pourtant pas certains chevaux de s’échapper ! – dans lesquelles vivent une partie du cheptel de l’institut. Dans certains d’entre eux vivent également des Ouessants, des petits moutons noirs qui ne manquent pas d’ambiancer la zone lorsque l’envie leur prend.


Aperçu des prairies